Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi de Katherine PANCOL
Quatrième de couverture :
Souvent la vie s'amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé de rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l'imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant.
Mais si on se penche, on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue...
Et la vie n'est plus jamais triste.
Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi...
Mon ressenti :
C'est avec grand plaisir que j'ai retrouvé les personnages de cette trilogie.Le passage à vide côté lecture s'est vite évaporé à la lecture de ce troisième tome très distrayant.
On retrouve les personnages des Yeux jaunes des crocodiles, et La valse lente des tortues. Il y a donc Joséphine, Philippe, Gary, Shirley et bien d'autres.
Les personnages évoluent, évidemment les enfants grandissent et de nouveaux centres d'intérêt apparaissent, et de nouveaux problèmes aussi, c'est la période des premiers amours etc....
Beaucoup de personnages dans ce troisième tome, celui que je préfère reste la peste d'Hortense qui est toujours aussi exigente, en prenant de l'âge, elle sait ce qu'elle veut et en fait toujours "des caisses" pour aboutir là ou elle veut aller.
J'ai un avis un peu plus mitigé sur le personnage de Junior qui est vraiment éxagéré, mais bon ce n'est qu'un roman...
Un petit détail que j'ai beaucoup aimé est une petite phrase qui revient de temps en temps tout du long du livre sur les écureuils en clin d'oeil au titre.
J'ai passé un moment agréable, sans prétention, de pure détente.